Trail

Comment bien choisir son circuit de trail ?

Le trail est une activité qui accueille chaque année de plus en plus d’adeptes. Pour cause, cette course au-delà de l’intérêt sportif permet de s’évader dans un environnement naturel et particulièrement apaisant. Toutefois, il est impératif pour le bon déroulement de cette course de bien choisir son circuit. Pour cela, certains éléments doivent être pris en compte. Voici quelques informations pour bien choisir son circuit de trail.

Tenir compte de la distance du parcours

La distance est l’un des critères les plus importants à considérer pour effectuer le choix de son circuit de trail. Cette dernière doit être en adéquation avec votre profil pour éviter toute déconvenue. Si vous êtes encore un novice en ce qui concerne la pratique de cette activité, évitez surtout les longues distances. En effet, il peut arriver que vous ne parveniez pas à effectuer tout le parcours. Cela entraînera finalement un sentiment de déception qui pourrait porter atteinte à votre motivation.

Si vous avez l’habitude d’effectuer une course sur 10 km, évitez le choix des circuits dont la distance est supérieure à 14 km. Dans le cas où vous seriez habitué aux semis, il serait préférable de vous limiter à 26 km. Pour les plus expérimentés, un circuit de 50 km est tout à fait envisageable. L’important est de ne pas essayer d’en faire plus que vous en êtes capable.

Quoi qu’il en soit, un coureur de route aguerri peut démarrer avec une distance comprise entre 20 et 30 km et un dénivelé positif de 1 000 m. Quant aux nouveaux coureurs, le mieux est de miser sur une distance comprise entre 10 et 15 km avec un dénivelé positif de 500 m maximum.

Tenir compte du profil du terrain

Il existe plusieurs types de circuits de trail. Ces derniers peuvent être en montagne, en campagne ou encore sur chemin. Il est essentiel que votre choix se fasse en fonction de votre niveau. Pour les débutants, le mieux est d’opter pour un terrain peu technique et avec peu de vallons. Les sols comme les chemins de boue, les sables ou encore les prés sont tout à fait convenables. C’est le meilleur moyen d’entraîner vos chevilles et de gagner par la même occasion en souplesse et en résistance.

Les terrains parsemés de cailloux ou de rochers sont eux déconseillés. N’étant pas un habitué, il y a en effet des chances que vous vous fassiez des entorses. Tâchez d’acquérir un peu plus d’expérience avant de vous aventurer sur les terrains à risque. En entraînement, veillez à travailler les côtes ainsi que les descentes pour améliorer votre performance.

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Jérôme

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